MOHAMED le messager de Dieu dans la Torah et l’évangile 4 !
| ||
Les ouvrages du patrimoine ….. Et les annonciations. (suite) Par ailleurs, le texte fait allusion à la lumière qui s’éleva sur les nations (gentils) dans cette terre ( Des nations marchent à ta lumière, Et des rois à la clarté de tes rayons) , aussi est-il nécessaire de signaler encore une fois que le terme nations n’est utilisé qu’assez inexactement ici, car le plus judicieux serait « gentiles » qui désigne les autres nations que celles porteuses du livre comme précité. De même, on trouve dans ce texte une claire signalisation des caravanes (des chameaux) de provenance du sud de la péninsule arabique , symbolisée ici par le royaume de Séba 6 : 60 ( Tu seras couverte d'une foule de chameaux, De dromadaires de Madian et d'Épha; Ils viendront tous de Séba) C’est une prophétie qui ne s’est jamais réalisée pour Jérusalem, mais plutôt s’est effectivement et pleinement réalisée pour la Mecque, et doit forcément se produire dans le passé concrétisé par l’ère des chameaux et des caravanes qui a déjà pris fin…Et ce qui accrédite cette thèse dans le même texte c’est l’indication d’égorgement des immolations (60 : 7) ( Les troupeaux de Kédar se réuniront tous chez toi; Les béliers de Nebajoth seront à ton service; Ils monteront sur mon autel), une particularité de la Mecque dont Jérusalem n’a jamais eu la moindre attribution. Egalement, Jérusalem n’a point de rapport avec les troupeaux de Kidar fils d’Ismael auquel toutes les tribus arabes sont attribuées et qui selon le dictionnaire du livre sacré, a occupé le pays des arabes (oracle sur l’Arabie ….. s’en fait de toute la gloire de Kidar) …en outre se référant à la simple évidence, tout le monde sait que l’égorgement des sacrifices est l’un des principaux rites du pèlerinage en Islam. Toujours dans le même ordre d’idée, le texte stipule même le chemin parcouru par le pèlerin : 60:6 60:8 61:9 En guise de corollaire, sourate AL FATH confirme ces attribues :29. Muhammad est le Messager de Dieu. Et ceux qui sont avec lui sont durs envers les mécréants, miséricordieux entre eux. Tu les vois inclinés, prosternés, recherchant de Dieu grâce et agrément. Leurs visages sont marqués par la trace laissée par la prosternation. Telle est leur image dans la Thora. Et l'image que l'on donne d'eux dans l'Evangile est celle d'une semence qui sort sa pousse, puis se raffermit, s'épaissit, et ensuite se dresse sur sa tige, à l'émerveillement des semeurs. 29 al fath Le texte fait également allusion aux victoires et conquêtes, œuvres de nos premières ancêtres musulmans et leur purification de la terre des pierres et des idoles 62 : 10 62:10 60:5 Et bien entendu ces richesses et trésors n’ont jamais appartenu à Jérusalem, mais plutôt à la Mecque considérée parmi les plus riches contrées (10)Le texte souligne également la propagation de l’état de l’Islam et sa conversion de la faiblesse et la petitesse à la force et la prolifération. Cette nation qui a débuté par un seul homme faible dont l’appel à Dieu fut discret et dissimulé de ses ennemis, est devenu une forte nation possédant toute la terre… qui a annoncé les bonnes nouvelles aux pauvres, a fait sortir de prison le captif … a fait arraché les gens des ténèbres de l’incrédulité et le polythéisme à l’adoration du seul vrai Dieu, et par lequel Dieu se vengera de ses ennemis et consolera les affligés… 60 : 22 – 61 :1 - 61 :2 60:22 61:1 61:6 Nous trouvons pas mieux comme preuve infaillible que la terre de l’ouest qui comprenait la Série , L’Arabie et les perces, cette terre qui constituait pour longtemps le berceau des messages religieux précédents, et que le livre sacré avec ses deux testaments anciens et nouveaux ne cesse d’en parler et de relater l’histoire des nations qui l’ont occupée et les prophètes qui y sont envoyés, et qu’en dehors de laquelle la terre était couverte par des tendances athéistes matérielle et naturaliste où l’adoration de Dieu est dérisoire ; cette terre est devenue toute musulmane !!! (Et Dieu est souverain en Son Commandement : mais la plupart des gens ne savent pas.) 21 Sourate YOUSSEF !! C’est une terre que selon le texte sera la terre peuplée, une destinée que les gens désireront visiter. 62 : 12 (Et toi, on t’appellera recherchée, ville non délaissée) Que ceux qui calque cette prophétie sur Jérusalem, nous informe quand est-ce que Jérusalem a rempli ces critères ?!! Ce sont des critères qui doivent nécessairement être déjà réalisés comme il a était lieu de le clarifier… rendant ainsi insensées les prétentions juives à propos du non encore accomplissement de cette prophétie, de même l’attente de ce délivreur qui va les venger, écrasant de ses pieds le monde, et souillant ses habits du sang des non juifs !! Selon le dictionnaire des anciennes routes (ancien trades roots), Idem commence dès l’extrémité sud de la mer morte sur des superficies du Sahara arabique pour s’étaler sur toutes les terres du littoral est de la mer rouge (comme précité). Par ailleurs, l’ensemble des livres du Hadith, témoigne unanimement que le prophète (PBSL) portait un habit dont la beauté et la fierté n’ont pas de pareil !!! Ibn Al Bara’a dans une description du prophète (PBSL) nous dit : « je l’ai vu (le prophète) dans un habit rouge, que j’ai point vu de chose meilleure) …………………… Aussi, le fait que le prophète (PBSL) présidait lui-même ses incursions, entouré par ses nobles compagnons (que Dieu Soit Satisfait d’eux) ne peut constituer un sujet de divergence entre deux personnes. Je reviens donc, à présent, pour reposer la même question évoquée dans ce texte à propos de ce prophète que Dieu envoiera en fin du temps pour rétablir la justice sur terre, et dont la gloire ainsi que celle de sa ville persistera jusqu’au jour de la résurrection, en l’occurrence : qui est celui-ci qui vient d’Idom, en habits éclatantes (rouge dans la version arabe), et se redressant avec fierté dans la plénitude de sa force ? Serait-il Moise (PSSL) ?! Absolument non, d’abord Moise n’est pas venu d’Idom, ensuite, comme l’atteste le texte, le prophète en question viendra après que la terre soit dévastée et que la corruption l’ait dominée éprouvant une extrême urgence de recevoir un réformateur que Dieu envoiera pour accomplir cette mission, en outre, le texte affirme que sa gloire et celle de sa nation s’éternisera, or nul n’a prétendu que Moise était le dernier des prophète, ce qui rejette inévitablement l’hypothèse de porter cette prophétie sur Moise (PSSL).. Pourrait-il être Christ (PSSL) ? Là encore, la réponse est négative…, Jésus lui n’en plus n’est pas issu d’Idom, n’a jamais eu de force armée à présider…et les critères de la ville ne correspondent pas à Jérusalem et aucun ne s’est réalisé après l’envoi du Christ, pas de chameaux venant du sud de la péninsule arabique !!! ni de troupeaux des tribus de la Mecque qui s’y réunissent !!! la paix et la sécurité ne s’y sont pas instaurées, au contraire, la première chose à s’y être produite après le départ de Christ, était la torture de ses disciples et leur fuite dans les divers contrés, l’histoire même de Jérusalem au fil du temps est le meilleur témoignant de l’injustice, la démolition et l’écoulement du sang dont Jérusalem souffre toujours, les blessures et douleurs, élevant sa devise de « la terre contre la paix » ! … en fin, nul des premiers ni des derniers n’a jamais prétendu que l’envoi divin du Christ visait la vengeance des ennemis de Dieu, ou pour qu’il écrase de ses pieds les nations révoltant contre Dieu dont le sang jaillit sur ses vêtements et souille tous ses habits ?!!! Que serait donc celui-ci qui se redresse avec fierté dans la plénitude de sa force ?!! Ensuite le texte remet l’accent sur la sécurité et la paix comme étant la devise de cette terre, avançant que ses portes s’ouvrent et ne se referment point, pas de violence ni de ravage et de ruine : 60 : 11 – 60 : 18 60:11 60:18 Ce sont des critères aux quels Jérusalem ne répond absolument pas … Jérusalem qui jusqu’aux nos jours vit sous l’emprise de l’injustice, les feux des guerres et dans les ruines et les ravages ?!! Jérusalem où les chars d’assaut ravagent les maisons ; les mitraillettes tuent les enfants et le bourdonnement des explosions est le plus dominant comme son !!! De plus ses portes se referment beaucoup plus qu’elles ne s’ouvrent !!! Quel être raisonnable insisterait-il sur le fait que le texte parle de Jérusalem ? S’il en existe c’est à l’histoire qu’il doit s’en prendre, et s’il ne parvient pas à anéantir les faits historiques, plus encore Ariel Sharon !!! Poursuivons avec IBN TAYMIYA : Esaie a dit : mettent l’accent sur l’annonciation du sceau de la prophétie : il nous est né un enfant prodigieux,souriant avec un grain de beauté sur les épaules, Arakoun de la paix, un Dieu puissant et son pouvoir est un pouvoir de paix, ,fils de son monde, qui siége la chaise de David (Pssl)- on disait que le mot Arakoun désigne le « grandiose », d’après le langage de l’évangile ; quand Christ a guéri un fou de son aliénation mentale, les juifs lui ont reprocher le recours à l’Arakoun des diables, à savoir leur grand ; aussi Jésus disait dans l’évangile que l’Arakoun du monde se puni, par assimilation à Iblisse ou bien le plus méchant parmi les humains, et l’a appelé Dieu par analogie à ce que la Torah utilise parfois, à titre d’exemple cette parole : Dieu a fait de Moise un Dieu de Pharon, à savoir que ce dernier serait sous la disposition de Moise qui le gouvernera, pareillement chez David, en s’adressant aux grandioses de son peuple, leur disait vous êtes des Dieux- Esaie a donc formellement témoigné de l’authenticité de la prophétie de Mohamed et l’a dépeint de ses signes les plus particuliers et les plus claires dont le grain de beauté sur l’épaule que par ma vie, ni Salamon ni Jésus n’en disposait ; il a également souligné qu’il héritera la prophétie et la royauté des fils d’Israel, par son énonciation de siéger sur la chaise de David. Cet extrait en dessus a également son pareil dans le volume d’Esaie : 9 : 2 à 7 9:2 9:4 9:6 9:7 Le plus frappant ici, c’est que le mot « paix » évoqué dans ce texte est désigné, selon le dictionnaire du livre sacré dans la version hébraïque par Shelalim qui signifie « Islam », ce qui permet au récit de reprendre sa vraie signification claire et cohérente devenant ainsi : le prince de l’Islam, donner à l’empire un environnement et un Islam sans fin !!! Serait donc le fait que le mot « Shelalim » se répète dans deux prédictions différentes afférentes au noble prophète, une simple coïncidence, à moins que se soit l’Islam dont il est question ; et s’il on assume vrai que c’est du terme « Paix » qu’il s’agit, le plus judicieux serait comme synonyme dans la version hébraïque ne serait-il pas « Shalom » connu dans la langue hébraïque pour « Paix » et fréquemment utilisé dans les récits bibliques ? !!! Le dictionnaire anglais de la bible nous montre aussi une autre évocation du terme « Shelalim » dans le volume des lévitiques ; verset 29 : 7 : 7:29 On y observe que ce terme n’est pas traduit dans la version française par « Paix » comme à l’accoutumée, mais plutôt par « action de grâce » !!! Pourtant un enchaînement cohérent du récit nécessite l’utilisation encore une fois du terme Islam ainsi nous aurons (offrira à l’Eternel son sacrifice d’Islam) pour harmonisation de la parole et clarification de la signification !!! Il existe aussi toujours un autre texte figurant parmi les récits bibliques qui contient des qualités propres à une personne qui succédera au Christ que seul le prophète (PBSL) y répond ; c’est principalement ce que la révélation de Jean (19 : 10-16) nous renseigne : 10 : Et je tombai à ses pieds pour d’adorer, mais il me dit : garde toi de le faire ! je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus est l’esprit de la prophétie. 11 : Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. 12 : Ses yeux étaient comme une flamme de feu, sur sa tête étaient plusieurs diadèmes, il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même/ 13 : Et il était revêtu d’un vêtement teint de sang, son nom est la parole de Dieu. 14 : Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur. 15 : De sa bouche sortait une épée aigue, pour frapper les nations ; il les paîtra avec une verge de fer, et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout puissant. 16 : Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et seigneur des seigneurs. Serait-il par pure coïncidence encore une fois que l’être que Jean a vu dans sa révélation se nomme Fidèle et Véridique !! qui monte un cheval blanc !! et il juge et combat avec justice !! Sachant que les termes « Fidèle » et « Véritable » ne sont pas une qualification mais plutôt des noms propres qui s’écrivent avec un « F » et « V » en majuscule (qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable). Est-il également œuvre de coïncidence que parmi ses qualités se trouve l’épée aiguée par laquelle, il frappera les nations rebelles et les paîtra avec une verge de fer !! Pour ce qui est de son nom que personne ne connaît, c’est parce qu’il n’est pas de leur peuple et que sa langue n’est pas la leur ; quant aux diadèmes, je pense qu’il s’agit d’une allusion à l’héritage des autres nations, et sa suprématie, ainsi l’expression « le roi des rois et le seigneur des seigneurs » se rapporte à l’épanouissement et la grandeur de sa royauté et de son règne que la terre n’a jamais vu de pareil et ne pourra en espérer voir ; et c’est également une forte indication que c’est le prophète (PBSL) qui clôtura la prophétie devenant ainsi le sceau des prophètes et leur Imam. Ceci dit, il est catégoriquement impossible que ce soit du Dieu qu’il s’agit, car le texte dès son début se réfère à une personne sur un cheval blanc qui s’appelle Fidèle et Véritable, qui juge et combat avec justice et qui sera un instrument divin pour exprimer la colère de Dieu contre les nations rebelles (il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout puissant) (11). A ce propos, je demanderai aux érudits des gens du livre de nous présenter une personne autre que le messager de Dieu (PBSL), qui aurait dû été envoyé antérieurement ou postérieurement à Jésus (PSSL) et qui répond intégralement à ces qualités de justice, de vérité et de combat contre les nations rebelles !!! Nous disposons également d’autres récits bibliques qui contiennent des attribues que les érudits musulmans affectent au noble messager (PBSL), particulièrement dans le volume des cantique (5 : 9 – 5 :16) où une femelle décrit son bien aimé à ses amies, et s’enthousiasme à exposer ses qualités dont la majorité est au prophète (PBSL) qu’elle s’applique et parmi ce dont il a été dépeint dans les livres du Hadith tel « Sahih Al Boukhari »et autre, elle dit : 5:9 Jérusalem! – Les plus patent ici, outre les qualités contenues dans ce texte et qui existent aussi dans les livres du Hadith, c’est que le parallèle dans la version hébraïque du terme « pleine de charme » qui précède l’expression « tel est mon bien aimé, tel est mon ami », et qui est censé être un nom, est étonnement " Machmadine", à noter que cette addition "ine" au nom « Machmad » est spécialement utilisé dans la langue hébraïque pour exprimer la glorification, ce qui bien entendu prouve qu’il s’agit effectivement d’un nom ou plutôt d’un grand nom et non d’une qualification. Le terme (machmad) dans l’hébraïque sans l’addition de glorification se compose des mêmes lettres que ceux qui constituent le mot (Mohamed) dans la langue arabe, et qui se traduit parfois au louange ou bien le charme comme dans le texte, ainsi qu’autre signification du même genre; Seulement l’addition de glorification incorporée dans le terme ainsi que son emplacement dans le contexte prouve qu’il s’agit d’un nom beaucoup plus qu’une attribue... je vous laisse donc le soin de juger si le plus convenable serait de dire (sa personne est pleine de charme, tel est mon bien aimé, tel est mon ami) ou bien (c’est la personne du grand Mohamed, tel est mon bien aimé, tel est mon ami). Quelle coïncidence voudrait donc que le mot « Machmadine » occupe précisément la place où le nom de la personne en question est censé occuper ?!!! Un autre témoignage existe toujours dans le volume de Aggée 2 : 6 à 9, où le nom du prophète est explicitement et clairement mentionné, seulement c’est dans la version hébraïque qu’il garde son apparence terminologique. 2:6 Car le mot « Trésors » évoqué dans la version française se trouve « Hemda » dans la version hébraïque, et l’on doit être aveugle pour ne pas s’apercevoir que ses lettres dérivent du nom du prophète (PBSL) en arabe (AHMED, ou bien MOHAMED) ; l’étonnant c’est que les chrétiens imputent le nom « Hemda » à Christ (PSSL) malgré l’éclat diffusé par ses lettres pour annoncer leur fière appartenance au noble prophète (PBSL). Je crois que l’évidence que la moindre équité nous force d’admettre c’est que cette dernière maison ainsi cité dans le texte se réfère bel est bien à la Mecque, que la paix qui la dominera est forcement l’Islam et que « Hemda » n’est personne d’autre que Mohamed (PBSL). J’ignore complètement pour qui l’on ose s’amuser des versets de Dieux et de ses livres de la sorte ?!!. Pour qui le terme Islam est détourné de sa véritable traduction pour devenir paix ou parfois sécurité, Machmadin et Hemda sont privés de leur lettre est remplacé par " charme ou trésor" et les gentils par les nations ?!! Est-ce pour Dieu ?!! Ou pour Mohamed ?!! Ou bien pour Jésus ?!! Que le maudit Satan soit heureux, que son cœur se réjouisse, car par amour de ses yeux, Dieu est désobéi, ses livres sont falsifiés et ses messagers sont démentis !!Et que la passion et le fanatisme aveugle se réjouissent, car pour leur satisfaction, l’au-delà est dérisoirement troqué contre le bas monde, le pardon contre les supplices et le paradis contre l’enfer !! Je me demande comment oserait-on être d’une telle intrépidité à l’égard de Dieu, d’injustice de criminalité, de turpitude et de bassesse; Celui que l’envie a égaré traînant dans la boue de l’égarement des nations derrière lui, comment supportera –t-il les flammes du feu ? A présent, continuions avec Ibn Taymiya : ils ont dit : Esaie a dit désignant la Mecque : je t’ai dessinée sur la paume de ma main, tes fils viendront précipitamment à toi, celui qui compte t’effrayer et te trahir, sortira de chez toi, lève tes yeux autours de toi, ils viendrons vers toi, et s’uniront chez toi, tu seras baptisée par mon nom, c’est moi le vivant, porte tes beaux vêtements et orne toi de la couronne comme la mariée, tes ruines seront étroites pour accueillir les grands nombres de tes habitants et tes prédicateurs, tes ennemis te craindrons et tes enfants se proliférant au point de te demander qui m’a accordée tous ces enfants alors que je suis seule et unique, qui va les élever et en prendre soin. On dit que c’est là une élucidation de la part d’Esaie à propos de la Mecque, car c’est elle que Dieu a vêtu d’une parure de luxueux tissu de brocart et a engagé les rois et les Khalifs pour son service; ses pèlerins et ses habitants sont ses enfants que Dieu a pris en charge, et c’est également la Mecque que Dieu a protégé contre ceux qui comptaient l’effrayer et la dévaster, elle a conservé toute sa fierté et n’a jamais été outragée (Sourat AL HAJ 25 : Quiconque cherche à y commettre un sacrilège injustement, Nous lui ferons goûter un châtiment douloureux) , et quiconque en tente se verra sévèrement torturé comme le cas des troupes d’éléphant d’Abraha ; Elle n’a pas cessé d’être peuplée est préservée dès l’ère du prophète Ibrahim (PSSL); à l’opposé de Jérusalem dévastée, dépeuplée et assaillie nombre de fois . Aussi Esaie dit que Dieu dit : je remercie mon amour et mon fils Ahmed -Il l'a alors nommé « fils et bien aimé », certes David est aussi nommé « fils » seulement ce prophète est qualifié en plus d’amour et de remerciement ce que Esaie a infiniment saisi et a incité son peuple de le glorifier pour la mise en valeur de son rang et son mérite, une qualité que seul le prophète en est dotée- Esaie continuait disant : nous avons entendu la voix de Mohamed parvenue des coins de la terre. Jolie proclamation aussi claire que le soleil du nom du prophète (PBSL). Je m’adresse aux gens du livre, s’il existe un prophète autre que le prophète (PBSL) dont les textes bibliques ont annoncé le nom avec une telle élucidation, faites le nous connaître. Esaie continue : le ciel est rempli de la brillance d’Ahmed (un autre nom de Mohamed) (PBSL) émanant de la lumière de croyance et du Coran jaillie de lui et de sa nation , et la terre est remplie de sa glorification de Dieu lui et sa nation dans Leur prière, chose qui ressort de l’évidence chez sa nation, ce sont absolument eux qui glorifient Dieu le plus; chaque prière ou sermon est nécessairement préludé par l’éloge de Dieu, et dans la prière en particulier, chaque Rakaa (génuflexion) commence par "l’éloge est à Allah" et s’achève avec. Une foie soulevé de Rokoua, l’Imam prononce « Dieu entend celui qui le glorifie » et tous les priants répondent « Eloge soit à Dieu », à la fin de la prière on reprend l’éloge de Dieu par attribuer les salutations, la piété, les bonnes qualités et les prières à Dieu et bien d’autres expressions et genres d’éloge dont l’exposition prendra éminemment de place. Le prophète Daniel (PSSL) a également évoqué notre prophète (PBSL) par son nom disant : tu tireras de ton arc abondamment et les flèches par ton ordre Ô Mohamed seront pleinement rassasiées. Assurément c’est une proclamation irréfutable saine de toute falsification et quiconque ose le nier, il n’a que nous faire parvenir un autre Mohamed qui a des flèches qui se retirent et des ordres qui s’exécutent. Le « livre de la religion et l’Etat » pour son auteur Ali IBN TABARI : c’est un auteur Chrétien qui a embrassé l’Islam, décédé à l’an 247 hijir, il mentionne dans son livre que le volume d’Esaie contenait cet éclatante révélation : (Je t’ai donné pour nom Mohamed Ô Mohamed, toi qui est le saint de Dieu, ton nom existera jusqu’à l’éternité).On trouve également mentionné dans ce livre écrit plus que 1000 ans au paravent que le volume de Habacuc brillait son l’éclat de cette prophétie : (Dieu est venu de Theman et le Saint vient de la montagne de Paran, la splendeur de Mohamed a couvert le ciel et la terre était remplie de son éloge). Remarquons qu’il s’agit de la même prophétie sus évoqué seulement le nom du prophète n’y pas directement énoncé, pareillement il est évoqué (éloge) au lieu de (gloire).Au terme de ce chapitre, nous nous contentons de ce qui est cité parmi beaucoup de ces livres de l’histoire que nous ancêtres érudits ont réservé aux annonciations prophétisant la venue du prophète (PBSL), ses attributs et son rang… - AL BAQARA 146 - 146. Ceux à qui nous avons donné le Livre, le reconnaissent comme ils reconnaissent leurs enfants. Or une partie d'entre eux cache la vérité, alors qu'ils la savent ! - AL ANAAM 20 - 20. Ceux à qui Nous avons donné le Livre reconnaissent (le Messager Muhammad) comme ils reconnaissent leurs propres enfants. Ceux qui font leur propre perte sont ceux qui ne croient pas. |